Ilsn'ont pas le mĂȘme maillot, mais bien la mĂȘme passion, dirons-nous, paraphrasant ainsi le cĂ©lĂšbre slogan d'une marque d'immobilier, sponsor des arbitres de football. Les rucks au microscope
Fait Ă©trange ce dimanche lors de la rencontre entre Montpellier et Nantes 1-1. Les Canaris n'arboraient en effet pas le mĂȘme maillot dans ce match puisque plusieurs joueurs ne possĂ©daient pas le sponsor principal sur leur le rĂšglement de la LFP, les joueurs d'une Ă©quipe doivent tous porter les mĂȘmes publicitĂ©s. Le FCNA pourrait Ă©coper d'une fois - par Romain Rigaux le 03/11/2013 Moije trouve qu'il y a un lien entre le manque d'identification des jeunes au maillot vert et la dĂ©liquescence des rĂ©sultats et de l'organisation ASSE sous Romeyer. J'en suis dĂ©solĂ©. Encore une fois je n'ai aucune haine. J'essaye juste de ne pas regarder Ă  cĂŽtĂ©, mĂȘme si j'en comprends la tentation.
Aller Ă  la page 1 ... 10 ... 16, 17, 18 ... 22 ... 28 InvitĂ©InvitĂ©Lun 8 Juil - 1821Ce qu'elle sait, c'est qu'elle est la premiĂšre Ă  faire la rencontre de sa famille. Rien que ça dĂ©jĂ  peut lui prouver qu'elle n'est pas ou plus n'importe qui pour lui. Oui, elle a envie d'y croire. C'est toujours plaisant de savoir qu'on plait, que quelqu'un nous apprĂ©cie vraiment. Et contre toute attente, Vice fait parti dĂ©sormais de cette catĂ©gorie. Il le niera, bien entendu. Tout comme elle, Ă©videmment. Et si Elsa est plutĂŽt du genre super-mĂ©ga-dĂ©tendue en toutes circonstances et avec tout le monde, elle n'est pas comme ça avec tout le monde non plus. Sexuellement parlant dĂ©jĂ ... Et ensuite, elle se sent si bien protĂ©gĂ©e, en confiance, qu'elle pourrait lui confier toute sa vie. Elle ne le fait. Mais ça viendra peut-ĂȘtre, un jour. Qui sait !?En tout cas, elle peut se rĂ©jouir d'avoir rĂ©ussi Ă  dĂ©brider un peu le tatouĂ©. Elle ne l'a jamais vu autant sourire, autant s'amuser que depuis qu'ils sont arrivĂ©s. Oui, ok... Elle sait bien que c'est dĂ» en trĂšs grande partie au fait qu'ils soient en SuĂšde dans la famille de Vice mais quand mĂȘme !Jeu... De sociĂ©tĂ© ou sexuel... Qu'importe. Cela reste des jeux. Et s'il peut se montrer mauvais perdant dans un, il sait trĂšs bien qu'il ne sera jamais perdant dans l'autre. Peu importe comment ça commence, de la façon dont ça se passe, il finit toujours plantĂ© en elle. Et l'apothĂ©ose, y'a un orgasme en plus Ă  la clĂ©. C'est pas beau ça ?!L'attacher. Non. L'idĂ©e lui a dĂ©jĂ  effleurĂ© l'esprit Ă©videmment mais elle est trĂšs vite repartie. Y'a pas moyen qu'elle foute en l'air le meilleur plan cul qu'elle ait jamais eu juste pour une idĂ©e farfelue. L'avantage de le connaitre un peu ... Ce qui n'est pas un avantage en revanche, c'est le fait qu'elle parle souvent plus vite qu'il ne le faut. Comme lĂ . Biiiien Elsa ! Magnifique ! Clap. Clap. CĂąlinours quoi ! Elle vient de sortir ce mot style de rien. Et putain elle s'en veut. Il va faire quoi ? Se moquer d'elle ? Partir ? Gueuler ? Rhaaaaaa !!! Putain de bordel de merde ! Un jour, elle se coupera la langue Ă  force de dire des conneries plus grosses qu'elle ! Dernier espoir malgrĂ© tout. Il n'a peut-ĂȘtre rien entendu ! Ahem. Mais bien sĂ»r ! Et la marmotte... "Hein ? J'ai rien dit ! T'as mal entendu. Oublies." Oui, voilĂ , c'est bien ça d'oublier. Et il le fera, elle en est certaine. Hein oui qu'il le fera ? Oh my god... Heureusement que cette boulette ne coupe en rien leur envie rĂ©ciproque. Peu de chose voire rien du tout peut couper leur envie de sexe de toute façon. Alors c'est clairement pas un malheureux mot qui va le faire ! Ils en riront, un jour. Dans trois ans quand ils se croiseront par hasard. Mais pour l'heure, ils ne se croisent pas. Ils se rentre dedans. Façon de torride, comme toujours. Corps qui se heurtent et respiration qui se saccadent. Doigts qui se montrent curieux et croupe qui s'empale furieusement contre la hampe. Elle jouit dĂ©jĂ  Elsa... Toujours bien trop rapidement... Et elle ne s'en rend peut-ĂȘtre pas compte Ă  quel point elle lui mord fort les doigts. Elle se fera pardonner juste aprĂšs, c'est son tour de jouir ensuite, les mains plaquĂ©es sur les hanches de la blonde et la limant rageusement. DerniĂšre ligne droite bientĂŽt franchie et elle sent le liquide chaud se rĂ©pandre sur son cul. Elle sourit et tortille mĂȘme du cul, s'amusant de cette situation. Elle le laisse poser sa tĂȘte sur son Ă©paule quelques secondes avant de se retourner pour venir l'embrasser plus tendrement. Elle prend ensuite sa main meurtrie et la regarde. "J'suis dĂ©solĂ©e... Ca te fait mal ?" lui demande-t-elle en le regardant de nouveau avant d'embrasser doucement ses doigts. Comme si ça pouvait le guĂ©rir... InvitĂ©InvitĂ©Lun 8 Juil - 1821Only & ViceElsa est diffĂ©rente des autres partenaires de Vice, sur trop de points pour qu'il ait vraiment envie de s'y attarder et de commencer Ă  s'interroger sur le pourquoi du comment. Et sur le "combien de temps" ça durera. Il ne veut plus s'inquiĂ©ter Ă  propos de tout ça. Lui qui a juste envie de profiter tant que ça durera. Au fond de lui, il se contente de se dire qu'il y aura une fin de toute façon. Alors mĂȘme que les sentiments s'infiltrent de façon sournoise. Sans qu'il ne les voit. Sans qu'il n'en prenne conscience. Et l'air de rien, ils continuent d'apprendre Ă  se connaĂźtre. Entre deux Ă©treintes torrides. MĂȘme si celles ci s'enchaĂźnent assez vite quand mĂȘme ... Elsa a quand mĂȘme le temps de dire quelques belles conneries quand mĂȘme. Comme ce surnom qu'elle vient de laisser Ă©chapper. Et qui les laisse tous les deux totalement choquĂ©s. Lui, par ce qu'il vient d'entendre. Elle, par ce qu'elle a dit. Une belle connerie, c'est sĂ»r. Mais elle regrette tellement, qu'il n'a ni le courage de l'envoyer chier, ni mĂȘme vraiment l'envie de se vexer ou de s'Ă©nerver. PlutĂŽt l'envie de se foutre d'elle, ouais. Ce qui n'est pas si mal non tard. J'ai trĂšs bien entendu. Tu viens vraiment d'inventer ce mot ? Qu'il continue de la taquiner. De se moquer, pour ĂȘtre plus exact. Mais tout ça ne les empĂȘche pas d'avoir de nouveau trĂšs vite -trop vite- envie l'un de l'autre. Et comme Ă  chaque fois, ils ne se font pas prier pour rĂ©pondre Ă  ce dĂ©sir totalement dingue. Il se plante vite fait bien fait en elle et entame les mouvements. C'est coup de reins bestial sur coup de reins brutal. Pour leur plus grand plaisir Ă  tous les deux, bien entendu. Ils sont toujours autant sur la mĂȘme longueur d'ondes en ce qui concerne le sexe. Et n'ont vraiment aucune raison de se priver pour le coup. Et justement, ils n'essaient mĂȘme pas ! L'orgasme qui vient heurter de plein fouet la jolie blonde ,lui fait perdre les pĂ©dales au point qu'elle mord un peu trop fort dans le doigt qu'elle suçotait et mordillait plutĂŽt gentiment jusque lĂ . Vice n'a pas le temps de s'attarder sur la douleur. Trop concentrĂ© qu'il est sur la fin de l'Ă©treinte toujours aussi vive. Le plaisir puissant qui menace d'arriver Ă  son apogĂ©e pour exploser pour de bon. Et qui vient effectivement le heurter avec violence, le ravageant de l'intĂ©rieur. De l'extĂ©rieur aussi. De tout en prend plaisir Ă  Ă©taler son sperme sur la fesse chaude de la blonde, celle ci n'hĂ©site pas Ă  remuer son petit cul pour se frotter davantage Ă  lui. De quoi le faire sourire et le satisfaire Ă©galement au passage. Presque de quoi l'exciter de nouveau. Il reste finalement quelques secondes contre elle, avant qu'elle ne pivote pour l'embrasser. Tout naturellement, il lui rend son baiser. Sans y penser. Sans penser Ă  rien du tout Ă  vrai dire. Si ce n'est au fait que, ouais, tout ça est vachement bon quand mĂȘme ... MĂȘme quand elle rĂ©cupĂšre sa main pour embrasser son doigt qu'elle a marquĂ© de ses dents. Ouais ... je vais pas pouvoir jouer de la guitare pendant quelques semaines ... Au moins ! Qu'il prĂ©tend en affichant une petite grimace, comme s'il souffrait vraiment. Mais trĂšs vite, il roule des yeux avant de les lever au ciel. Elle se doute bien qu'il en souffre pas non plus le martyr. Que la douleur est mĂȘme dĂ©jĂ  en train de passer. Et s'il Ă©tait douillet, ça se saurait ! Tu t'excuses vraiment ? J'crois pas l'faire quand je te fais mal, moi. Qu'il lui rappelle, ironie dans la voix. Avant de, sans mĂȘme y penser, se pencher vers elle pour lui voler un baiser. Allez maintenant on s'lave et on sort de lĂ  ! InvitĂ©InvitĂ©Lun 8 Juil - 1822Vice est Ă  part c'est Ă©vident. A part de tous les autres hommes qu'elle a pu connaitre avant lui. DĂ©jĂ  parce qu'elle couche avec lui depuis maintenant ce qui semble ĂȘtre une Ă©ternitĂ© et ça ne lui Ă©tait jamais arrivĂ©. Ensuite, parce qu'elle sent qu'elle s'attache Ă  lui d'une façon diffĂ©rente. Elle ne s'attarde pas encore trop sur ça, pour savoir si c'est une rĂ©elle forte amitiĂ© ou un peu plus. Et si jamais elle Ă©tait amenĂ©e Ă  le faire, il est certain qu'elle prendrait peur et fuirait toutes ces conneries. Pas pour elle tout ça. Se caser et tout le merdier... C'est bon pour les autres. Ceux qui ont droit au bonheur et qui croit en ces choses lĂ . Pas pour toute façon, comme dit prĂ©cĂ©demment, elle n'y pense pas vraiment. Elle profite simplement de ses vacances avec un pote. Ouais, y'a du sexe. Mais pas que. Ils apprennent Ă  se connaitre et c'est pas si dĂ©sagrĂ©able que ça. L'esprit de la blonde divague un peu et le mot qu'elle redoutait de sortir un jour sort finalement. Plus tĂŽt que ce qu'elle aurait imaginĂ© et elle s'en mord les doigts aussi tĂŽt qu'il est sorti. Elle lui dit d'oublier, qu'il a mal entendu. Mais lĂ , tout de suite, elle est prise au dĂ©pourvu et ne trouve pas de mot approchant qui aurait pu le remplacer. Elle sait qu'il va oublier, qu'il va faire style du moins. Elle y finalement... contre toute attente, non. Il ne veut pas oublier. Et pire, il a trĂšs bien entendu. Maudite sois tu Elsa ! Du coup, ça ne sert Ă  rien de mentir. Autant lui dire la vĂ©ritĂ©. Cela ne l'empĂȘche pas de soupirer la blonde. "Oui... Je trouve qu'il te va bien !" Elle croise son regard moqueur et rĂąle. "ArrĂȘte de te moquer ! T'aurai jamais dĂ» l'entendre !" Ou plutĂŽt, elle n'aurait jamais dĂ» le dire... Heureusement que cela n'entĂąche en rien l'envie qu'ils ont l'un de l'autre sinon c'est clair qu'elle se serait maudite encore plus ! Envie qui se traduit une nouvelle fois par un coĂŻt brutalement bestial et qui les propulse assez rapidement vers l'orgasme. L'un aprĂšs l' s'amuse Ă  se tortiller alors qu'il rĂ©pand son sperme sur son cul et finit par se retourner pour l'embrasser tendrement. Elle commence dĂ©jĂ  Ă  s'excuser pour le mal qu'elle lui a fait parce qu'elle s'est rendue compte trop tard qu'elle lui avait certainement fait mal. Elle rĂ©cupĂšre d'ailleurs sa main pour regarder les ravages qu'elle a fait et embrasse aussitĂŽt la zone abĂźmĂ©e. "ArrĂȘte de te foutre de moi... Ca empĂȘche pas que j'suis dĂ©solĂ©e quand mĂȘme." Oui, Ă©videmment qu'elle sait qu'il se fout de sa gueule. Ce qui ne serait jamais arrivĂ© il y a encore de cela quelques semaines. Et elle ne va pas s'en plaindre la musicienne. Elle sourit Ă  ce qu'il lui dit ensuite et vient enrouler ses bras autour du cou du tatouĂ©. "Ouais mais c'est pas pareil. Moi je prends grave mon pied quand tu le fais. Ca me fait atrocement du bien quand tu m'fais mal..." Ce qui n'a pas Ă©tĂ© le cas lĂ  et elle le sait. Il lui vole ensuite un baiser qu'elle lui rend en retour rapidement avant de dĂ©faire son Ă©treinte. "Ouaip !" AussitĂŽt dit, aussitĂŽt fait. Ils se lavent, chacun de leur cĂŽtĂ© et Elsa sort en premier pour une fois !Elle regagne sa chambre dans laquelle elle cherche comment s'habiller. C'est assez rapide. Elsa n'est pas le genre de fille Ă  mettre trois heures Ă  se pomponner le matin. D'ailleurs, elle ne se maquille que trĂšs rarement. Vice arrive Ă  son tour dans la chambre et elle le regarde alors qu'elle a juste enfilĂ© ses sous-vĂȘtements. Elle va Ă  sa rencontre et colle son front contre son torse un instant avant de relever la tĂȘte pour croiser son regard. "Tu redors avec moi cette nuit ?" Elle espĂšre bien qu'il va dire oui. Mais pff c'est d'une Ă©vidence !!!Elle lui vole un baiser et soupire. "La journĂ©e va ĂȘtre super longue... Mais je me disais que tu pourrai peut-ĂȘtre me faire visiter les extĂ©rieurs de la maison... Comme ça, on pourrait avoir un petit moment Ă  nous pendant la journĂ©e..." A moins qu'il n'est prĂ©vu autre reste collĂ©e un peu Ă  lui, retardant le plus possible l'inĂ©vitable. Oui, il va devoir la laisser. Oui, ils vont devoir encore prendre des distances devant les autres. Putain... Les journĂ©es passent et c'est de plus en plus difficile... Elle a tellement besoin/envie de l'avoir constamment prĂšs d'elle. InvitĂ©InvitĂ©Lun 8 Juil - 1823Only & ViceC'est bien parce qu'il apprĂ©cie quelque peu la blonde, qu'il est Ă  ce point capable d'accepter le surnom qu'elle vient de lui donner, involontairement. En soit, il ne "l'accepte" pas vraiment. Mais il ne s'Ă©nerve pas ni ne se vexe. Ce qui est plutĂŽt bon signe, venant de lui. Il aurait plutĂŽt tendance Ă  s'en amuser. Au point de se foutre un peu d'elle du coup. Il grimace quand mĂȘme un peu quand elle affirme qu'il lui va bien. Il a vachement peur de lui demander en quoi ça lui va si bien que ça. CĂąlinours ? Ca m'va bien ? Qu'il demande sans vraiment demander. Pas sĂ»r de beaucoup apprĂ©cier l'explication qu'elle pourrait lui donner. Elle le voit comme un ours mal lĂ©chĂ© mais qui fait de bons cĂąlins ? En tout cas un truc du genre. Parce qu'il est question de cĂąlin et d'ours Ă  la fois. Il espĂšre d'ailleurs qu'il est question d'ours et non pas de "nounours". Nuance importante que voilĂ  ! Quoi ? Il ricane encore, sans pouvoir s'en empĂȘcher. Dis moi que tu ne m'appelles pas comme ça devant d'autres gens ! Il a comme un doute. Parce que si ce n'est pas ça qu'elle vient de sous entendre, de quoi parle-t-elle ?MalgrĂ© tout ils enchaĂźnent avec une Ă©niĂšme baise. Divine, pour ne pas changer les bonnes vieilles habitudes. Baise intense au cours de laquelle Elsa s'emballe assez pour refermer un peu trop fort ses dents autour de l'un des doigts tatouĂ©. Tout de suite aprĂšs, elle culpabilise comme pas possible et s'excuse, Ă  sa plus grande surprise. J'me fous pas de toi ... Je te trouve juste ... Bizarre ... Ou plutĂŽt, diffĂ©rente de d'habitude. De plus en plus attentive Ă  lui. Aux petits soins, carrĂ©ment. Et mĂȘme si ce n'est pas dĂ©sagrĂ©able du tout, ça a quand mĂȘme bien le don de le surprendre. Pour autant, il a bien l'intention d'en profiter. Justement parce que c'est agrĂ©able d'avoir quelqu'un qui veille sur soi de cette façon. Elle libĂšre finalement sa main pour enrouler ses bras autour de son cou. En retour, le tatouĂ© enroule les siens autour de son cou, l'une de ses mains refermĂ©e autour de son propre poignet, en guise de prise autour d'elle. T'y es peut-ĂȘtre allĂ©e un peu fort. Et mes doigts ne sont pas franchement des zones Ă©rogĂšnes. Qu'il finit quand mĂȘme par lui confirmer. De lĂ  Ă  dire qu'il a eut trĂšs mal ... Il ne faut pas non plus abuser ! Elle lui fait bien plus mal quand elle mord fort dans son cou. Mais lĂ , il prend son se dĂ©tachent enfin l'un de l'autre pour se laver. Et aprĂšs la douche, ils se retrouvent dans la chambre. OĂč Vice n'a le temps de renfiler que son boxer, avant qu'Elsa ne revienne Ă  lui, pour poser son front contre son torse. Bien sĂ»r. Faut bien que je prenne ma dose de sexe. Il fout son envie de dormir contre elle, sur le dos de sa libido dĂ©bordante. Rien de bien neuf sous le soleil en clair. Il n'est toujours pas prĂȘt Ă  reconnaĂźtre tout haut, le fait qu'il adore dormir en l'ayant entre ses bras ou tout simplement contre lui. Ni reconnaĂźtre tout le reste non plus. Le fait qu'il aime l'embrasser. Et qu'il apprĂ©cie de plus en plus la personne qu'elle est. T'en fais pas, j'trouverai un truc ! Qu'il la rassure, mine de rien. Et parce qu'il n'a pas encore le courage de s'Ă©loigner d'elle, il commence dans un premier temps par l'embrasser. Parce qu'il en a beaucoup trop envie et ne voit pas de raison de ne pas le faire. Pourquoi se priver, franchement ? Il laisse sa langue errer du cĂŽtĂ© de sa bouche pour taquiner la sienne, encore et encore. Baiser langoureux et sensuel Ă  souhait. Hmm mais maintenant il est temps que tu me libĂšres. Qu'il la taquine de nouveau. Il trouve le courage nĂ©cessaire pour se dĂ©coller d'elle et rĂ©cupĂ©rer ses vĂȘtements qu'il renfile. Au moment de sortir de la chambre, il reste trĂšs prudent. Et ne sort qu'une fois certain qu'il n'y a personne dans le couloir. Pour rejoindre sa propre chambre oĂč il prend la peine de changer de vĂȘtements. InvitĂ©InvitĂ©Lun 8 Juil - 1823Elle qui pensait qu'il allait s'Ă©nerver et l'envoyer bouler est plutĂŽt Ă©tonnĂ©e dans le bon sens du terme qu'il le prenne comme ça. Ok, il se moque un peu Ă  ses dĂ©pens mais ça importe vraiment peu dans le fond. MĂȘme si lĂ , elle prĂ©fĂ©rerait ĂȘtre une petite souris qui va se cacher dans son trou. Et le pire, c'est qu'il lui demande en quoi ça lui va bien ! Rhaaaa !!!! Mais pourquoi il demande ça ? C'est pas assez gĂȘnant comme ça ? Pfff... "Oui. Ca te va bien..." Elle n'a pas forcĂ©ment envie de lui donner mais il semble vouloir en avoir lui. Grrr... Mais vu la tĂȘte qu'il fait celle du gars Ă©tonnĂ© qui comprend pas pourquoi ce surnom, elle capitule et lui donne enfin une explication. Et ce, sans le regarder. Plus simple. "Parce que tu as un cĂŽtĂ© ours sauvage et un cĂŽtĂ©... *soupir* tendre... " Elle sait qu'il ne va pas forcĂ©ment apprĂ©cier la seconde partie de l'explication alors elle tente de se rattraper du mieux qu'elle peut et cette fois, elle le regarde. "C'est pas mĂ©chant ou pĂ©joratif ! Ce sont les deux cĂŽtĂ©s de ta personnalitĂ© qui me font craquer." QUE-WA ??? Non mais sĂ©rieux Elsa... Barre-toi ! Ou bĂąillonne-toi je sais pas ! Elle se rend Ă©videmment compte qu'il va tout interprĂ©ter de travers ou pas d'ailleurs et elle tente encore une fois de se rattraper. "Enfin... craquer... Je veux dire sexuellement hein ! Va pas t'imaginer des trucs non plus !" Elle sourit en coin et dĂ©tourne aussitĂŽt les yeux. Ne surtout pas croiser son regard. Mais Vice pose encore une nouvelle question. "Mais non ! N'importe quoi ! Je t'appelle comme ça quand j'pense Ă  toi." Putain... dans le genre je mets les pieds dans le plat, on fait pas mieux lĂ . Elle rame la pauvre... Ca devient de plus en plus galĂšre. "Enfin non. J'pense pas Ă  toi. C'est quand... Rhaaaa !! Tu m'Ă©nerves !" VoilĂ . Parfait. Sujet clos comme ça. Oui oui, elle y croit. Elle arrive tout de mĂȘme tant bien que mal Ă  faire dĂ©vier le sujet et ils Ă©chouent dans la douche pour une Ă©niĂšme baise torride. Et une gĂȘne n'arrive jamais seule, bien entendu... Elle s'excuse de l'avoir mordu si fort alors qu'elle Ă©tait en train de jouir et lui, se moque. Enfin, pas loin en tout cas. Il lui dit qu'elle est bizarre. Ok... Sympa... "Bizarre ?" rĂ©pĂšte-t-elle en Ă©cho malgrĂ© tout. "En quoi j'suis bizarre ?" Non, elle ne voit pas pourquoi. Vraiment pas. Mais il va Ă©clairer sa lanterne, tout comme elle l'a fait pour lui et son surnom. Non ?Oui, elle prend peut-ĂȘtre un peu plus soin de lui et elle ne s'explique pas pourquoi. Encore un truc qui a changĂ© tiens. Pfff...Il admet tout de mĂȘme qu'elle y est allĂ©e un peu fort. Elle le savait. "Je recommencerai pas alors. Mais c'est de ta faute en mĂȘme temps. C'Ă©tait soit je te mordais, soit je criais comme je le fais d'habitude." Et Ă  choisir, il prĂ©fĂšre qu'elle l'ai mordu non ? Bah oui, c'est Ă©vident !La douche est enfin prise et ils se retrouvent quelques minutes plus tard dans la chambre. Elsa, Ă  moitiĂ© habillĂ©e, revient dĂ©jĂ  vers Vice. Oui, elle sent que la sĂ©paration approche et oui, ça la fait bien chier. Dingue... !!! Dormir de nouveau ensemble la nuit prochaine est envisageable, elle le sait. Ils en ont pris l'habitude et ça leur plait. MĂȘme si elle sait qu'il faudra qu'elle reprenne l'habitude de dormir seule Ă  un moment donnĂ©... Bref. En rĂ©ponse, elle lui vole un nouveau baiser et sourit. Dose de sexe. Ouais, ça fait parti aussi de la nuit qu'ils vont partager. Ca et les cĂąlins. CĂąlinours... Rha non ! STOP avec ce surnom merde !Pour Ă©viter d'y penser d'ailleurs, elle lui demande s'ils arriveront Ă  avoir un petit temps ensemble pendant la journĂ©e. Hier, ils en ont eu un avant d'arriver. Mais aujourd'hui, ça risque d'ĂȘtre un peu plus compliquĂ©. "J'espĂšre..." Passer toute la journĂ©e Ă  le voir, l'observer/le mater, lui parler mais sans pouvoir le toucher... Pfff... L'horreur. D'ailleurs, elle a bien du mal Ă  se dĂ©tacher de lui lĂ . Et lui aussi. Non. C'est son esprit qui lui joue des tours. Bien qu'il l'embrasse. Fougueusement. IntensĂ©ment. Elle ne peut que lui rendre son baiser et entortiller dĂ©jĂ  ses doigts dans les cheveux bouclĂ©s de son tatouĂ©. "Encore un peu... Attends..." Et elle l'embrasse encore un peu. Juste quelques secondes de plus, avant qu'il ne se dĂ©tache d'elle. Jusqu'Ă  ce qu'il quitte la chambre, elle ne le quitte pas des yeux. Elle grommelle ensuite avant de s'affaler sur son lit, sur le dos et de penser Ă  lui et Ă  ce dernier baiser qu'ils viennent d'Ă©changer. Elle ne peut que sourire. Et quand elle s'en rend compte, elle se met une gifle mentale et se relĂšve aussitĂŽt pour terminer de s' elle est prĂȘte, elle sort style de rien de sa chambre et arrive pour petit-dĂ©jeuner. Tout le monde est lĂ , ou presque. Elle dit bonjour Ă  chaque membre de la famille et s'installe Ă  table, juste trois secondes avant que Vice n'arrive Ă  son tour. InvitĂ©InvitĂ©Lun 8 Juil - 1824Only & ViceVice est sans doute beaucoup trop surpris par le petit surnom qu'elle est parvenue Ă  lui concocter, pour rĂ©agir autrement qu'avec surprise justement. Et moquerie, parce que c'est vachement simple de se foutre ainsi de Elsa. Il compte Ă©videmment sur elle pour Ă©viter de l'appeler comme ça devant qui que ce soit. C'est lĂ  son plus gros problĂšme en fait. Sa plus grosse inquiĂ©tude. Maintenant, il aimerait juste comprendre pourquoi ce surnom. D'oĂč elle peut bien le sortir pour que ça semble si spontanĂ©e dans sa bouche. Et ouais, il lui a inspirĂ© ça. Et il doit bien reconnaĂźtre que ses explications tiennent sacrĂ©ment la route pour le coup. Et c'est lui qui dit ça ! Elle a une telle façon de lui avouer la chose, qu'il continue d'ĂȘtre plus amusĂ© qu'autre chose. Ce qui devrait l'Ă©tonner un peu plus encore, la blonde. GĂȘnĂ©e comme pas possible, elle craint sans doute de le voir s'Ă©nerver Ă  tout moment. Mais ça n'arrive toujours pas, non. Au contraire. Plus ça va et plus il est amusĂ© par la situation. Tout ça parce qu'elle a trĂšs involontairement laissĂ© Ă©chapper un surnom un peu tirĂ© par les cheveux. Comme si Vice pouvait passer Ă  cĂŽtĂ© sans rĂ©agir ... Finalement, il la laisse se dĂ©patouiller tant bien que mal dans ses explications. Elle s'enfonce de plus en plus, clairement. Et lui, plus elle s'enfonce, plus il affiche un sourire tellement l'air d'une folle lĂ  ... Qu'il lui fait finalement remarquer, toujours sur le mĂȘme ton. Toujours avec le mĂȘme sourire dans les yeux. J'ai compris va. Il n'en dit pas plus. Et se contente de hausser les Ă©paules comme s'il n'y avait rien de grave Ă  tout ça. Il ne fait aucun doute que s'ils ne se trouvaient pas actuellement dans son pays natal oĂč il n'est clairement plus le mĂȘme, il n'aurait pas du tout rĂ©agit de la sorte. Il aurait plutĂŽt trĂšs mal prit la chose et l'aurait envoyĂ© chier. Mais lĂ , il est tellement dĂ©tendu qu'il n'aspire encore et toujours qu'Ă  profiter aussi fort que possible. De toute cette tendresse qu'elle veut bien lui offrir, entre autres choses. Et surtout ça d'ailleurs ! Il doute que ça le suive une fois qu'ils seront de retour en Hongrie. Alors autant en profiter, pour une fois qu'il se dĂ©tend assez avec une personne pour pouvoir accepter toutes ces petites choses. Il trouve une nouvelle raison de se moquer d'elle, juste aprĂšs une Ă©treinte terriblement torride ... Et brutale, comme ils savent si bien le bizarre, c'est tout. Fin. Conclusion. Qu'elle ne compte pas sur lui pour se perdre en de vaines explications, comme elle mĂȘme a pu le faire par rapport Ă  son petit surnom sorti de nulle part ! Ouais enfin encore un peu et tu me sectionnais le doigt quoi ... Qu'il continue , tout Ă  fait naturellement. Avant de prĂ©fĂ©rer se taire pour de bon Ă  ce sujet lĂ . C'est qu'il ne veut pas qu'elle s'imagine qu'il n'a pas du tout apprĂ©ciĂ© cette petite morsure et que, du coup, ça lui coupe l'envie de s'y risquer de nouveau. Vice se fait de nouveau plus tendre et plus cĂąlin, au moment de devoir s'Ă©loigner l'un de l'autre. Nettement moins moqueur quand il vient l'embrasser avec une certaine insistance. Sensuelle insistance. S'il ricane doucement quand elle demande quelques secondes supplĂ©mentaires, il ne se fait pas prier pour les lui offrir. Lui rendait son baiser avec toujours la mĂȘme tendre fougue. Mais arrive le moment oĂč ils s'Ă©loignent. Vice file se changer dans sa chambre avant de descendre pour rejoindre tout le monde. Il veut tellement donner l'impression qu'il n'y a rien d'anormal entre Elsa et lui, qu'il oublie de la saluer pour faire mine qu'ils ne viennent pas tout juste de se quitter. Il ne fait pas non plus attention au fait qu'ils aient tous les deux les cheveux encore humides et dĂ©gageant sans doute le mĂȘme parfum. Et qu'ils soient arrivĂ©s Ă  quelques secondes d'intervalles Ă  peine. Rien que des petits dĂ©tails qui pourraient passer inaperçus, soit. Mais sa soeur est attentive Ă  tout ça. Lorsqu'il croise son regard suspicieux, il tĂąche de ne pas y rĂ©agir du tout et se dĂ©tourne pour faire honneur au petit dĂ©jeuner, dans un premier temps. Ce n'est pas une raison suffisante pour ne pas, toujours, envisager de retrouver Elsa un peu plus tard dans la journĂ©e. InvitĂ©InvitĂ©Lun 8 Juil - 1825Il se moque. Ca va, elle s'attendait Ă  pire. En d'autres temps et d'autres lieux, il l'aurait peut-ĂȘtre pris d'une façon toute autre, c'est Ă©vident. BĂ©nisse la SuĂšde et l'effet qu'elle a sur lui ! Ce qui serait vraiment gĂ©nial, c'est qu'il reste comme ça une fois qu'ils seront revenus sur Budapest mais ça, elle en doute un peu. Tout est "trop beau" pour qu'il reste ainsi. Il faut se faire une raison. Et c'est pourquoi elle tente de garder certaines limites mĂȘme si c'est bien plus compliquĂ© que ça en a l'air. Elle rame dans ses explications qui sont pourtant tout Ă  fait logique mais il se moque encore. Et ça agace la blonde qui finit par le lui dire. Mais lui, il continue de se moquer ouvertement. Elle ne peut s'empĂȘcher de sourire malgrĂ© tout. Parce que c'est lui et parce qu'au fond, il a raison. Ouais, elle a l'air un peu folle lĂ  tout de suite. Et c'est dans un sourire sincĂšre qu'elle lui rĂ©pond une derniĂšre fois. "Je t'emmerde." VoilĂ . C'est dit. Et il est Ă©vident qu'il ne s'en offusquera pas vu le sourire qu'elle-mĂȘme arbore. Vice semble de trĂšs bonne humeur ce matin puisqu'il continue sur sa lancĂ©e et se moque encore une fois d'elle. Encore heureux qu'elle a le sens de l'humour et de l'auto-dĂ©rision... En quoi elle est bizarre ? Elle comprend pas vraiment. Parce qu'elle lui a mordu le doigt ? Parce qu'elle lui donne un surnom chelou ? Parce qu'elle s'excuse ? Parce qu'elle embrasse tendrement son doigt pour se faire pardonner ? Ou un mĂ©lange de tout ça ? Elle ne le saura jamais car, contrairement Ă  elle, il n'a aucunement envie de partir dans des explications. Reste Ă  savoir s'il en a ou pas. Et Elsa n'a pas envie de jouer la relou non plus. Grande chance pour eux ! Parce que ça aurait pu partir en vrille rapidement. Oui, juste pour ça. "Genre..." dit-elle en roulant des yeux vers le ciel. Lui sectionner le doigt ! Rien que ça ! Il en fait un peu trop sur ce coup-lĂ  mais elle n'ajoute rien de plus et se contente simplement de sourire une nouvelle lavĂ©s, ils profitent des quelques secondes qui leur restent. Ils s'embrassent comme si c'Ă©tait la derniĂšre fois qu'ils pouvaient le faire. Ce qui est presque vrai parce qu'ils ne savent, ni l'un ni l'autre, quand ils pourront de nouveau avoir un moment comme celui-ci. Elsa en demande mĂȘme un peu plus alors qu'il Ă©tait sur le point de s'en aller. Seulement quelques secondes supplĂ©mentaires, un baiser toujours plus intense et qui lui dĂ©chire le coeur lorsqu'il l'abandonne en retournant dans sa propre s'habille et rejoint le reste de la famille qui est dĂ©jĂ  en train de dĂ©jeuner. Evidemment qu'elle remarque l'arrivĂ©e de Vice et fait tout pour rester "normale". Ils ne se saluent pas mais pour elle, tout comme lui, c'est normal. Rien de choquant lĂ -dedans. Dans les faits, oui, ils viennent de se quitter mais les autres ne le savent pas et sont mĂȘme Ă  des lieux de s'en douter. Quoique... Vu comment Katalin les regarde tour Ă  tour, il y a de quoi s'interroger. Elsa la regarde d'ailleurs d'un air Ă©tonnĂ© et lui demande ce qu'il y a. Katalin secoue la tĂȘte en souriant en disant qu'il n'y a rien. Et Elsa ne peut s'empĂȘcher de regarder Vice rapidement. Heureusement, lui ne la regarde pas. Elle prend sur elle et se concentre sur le petit dĂ©jeuner. Une fois qu'elle a terminĂ©, elle se lĂšve et part dehors pour prendre l'air et fumer une pense Ă  lui, encore et toujours. Et Ă  la journĂ©e qui s'annonce terriblement longue et difficile. Il faut rĂ©ellement qu'elle trouve une occupation et loin de lui. Elle va bien voir avec Katalin... A moins qu'il ne dĂ©cide de l'emmener se promener et lĂ , plus besoin de se prendre la tĂȘte ! InvitĂ©InvitĂ©Lun 8 Juil - 1826Only & ViceIls se permettent vraiment de plus en plus de taquineries et de moqueries en tous genres tous les deux. Elsa est de plus en plus dĂ©tendue en compagnie du tatouĂ© il faut dire. Et de son cĂŽtĂ©, l'air suĂ©dois fonctionne toujours aussi bien sur son humeur il faut croire. Et tant mieux en soit. Ca lui permet de profiter un peu plus de tout, sans se poser trop de question. Pour une fois. Autant profiter avec lĂ©gĂšretĂ© de toutes ces petites choses tout Ă  fait simples. Comme des taquineries tout Ă  fait innocentes. Il en arrive mĂȘme Ă  ricaner quand elle lui balance, avec le sourire, qu'elle l'emmerde. C'est dire Ă  quel point il est dĂ©tendu. Et elle se doute certainement du fait que ces mots ne seraient pas aussi bien passĂ©s dans d'autres circonstances. S'ils avaient Ă©tĂ© balancĂ©s devant tĂ©moin, par exemple. Vice a sa fiertĂ© et personne n'a le droit de la bafouer. Pas mĂȘme Elsa. Ou surtout pas elle en fait. Ils continuent de se chercher un peu tous les deux. De tester un peu l'autre en se foutant de lui, plus ou moins. Mais ça ne part toujours pas en vrilles. Et dans le fond, tant taquineries qui ne les empĂȘche pas du tout de peiner Ă  se sĂ©parer quand vient le moment de le faire. Ils s'embrassent avec une certaine passion et beaucoup d'insistance, comme s'ils Ă©taient sur le point de se sĂ©parer pour un long moment. Ce qui n'est Ă©videmment pas le cas du tout. Ils vont passer les prochains jours ensemble, au contraire. Mais ils ne pourront pas avoir de gestes tendres l'un envers l'autre, avant un bon moment. Pas tant que la famille du suĂ©dois sera lĂ  dans les parages. Et justement, aprĂšs ces Ă©changes des plus tendres, ils filent retrouver ladite famille. Pas ensemble, bien sĂ»r. Et chacun s'installe d'un cĂŽtĂ© de la table, sans se prĂȘter plus attention que ça. Vice reste impermĂ©able aux regards de Katalin. Davantage intĂ©ressĂ© par le contenu de la table recouverte de nourriture, pour ne pas changer. Et comme toujours, il y fait honneur Ă  ce repas. Engloutissant une tonne de bouffe -voir plus- jusqu'Ă  se remplir correctement le ventre. Il est tant concentrĂ© sur sa tĂȘte, qu'il ne remarque mĂȘme pas qu'Elsa quitte la table pour sortir fumer sa premiĂšre clope de la journĂ©e. Lui mĂȘme ne ressentant pas encore le besoin de sortir fumer, il reste plutĂŽt bien volontiers au tout naturellement, il demande Ă  Katalin si elle pourrait prendre le temps dans la journĂ©e, de faire dĂ©couvrir le bain nordique Ă  Elsa. Avec sa rĂ©ponse positive, elle lui offre un petit sourire qui a le don d'inquiĂ©ter quelque peu le tatouĂ©. Il se demande s'il a fait ou dit quelque chose qui aurait pu les trahir tous les deux. Et finalement il dĂ©cide de s'en foutre. Et dĂ©cide que le temps qu'elles passeront toutes les deux dans le bain dehors, il le passera lui mĂȘme dans la salle de sport parfaitement Ă©quipĂ©. Il n'a rien foutu depuis plusieurs jours, ce qui n'est pas du tout dans ses habitudes. Il a donc plusieurs heures Ă  rattraper et a bien l'intention de le faire. Hors de question qu'il se laisse complĂštement aller. D'autant plus qu'il bouffe comme quatre quand il est en SuĂšde. Ou pas loin. Alors que c'est toujours lĂ  qu'il se dĂ©pense le moins, puisqu'il n'a pas les concerts pour brĂ»ler les calories. C'est tout de suite aprĂšs le petit dĂ©jeuner, que Vice dĂ©cide de faire quelques heures de sport. Il commencera lentement pour Ă©viter de rĂ©gurgiter tout ce qu'il vient d'avaler, bien sĂ»r. Et il montera crescendo sur plusieurs heures pour avoir la sensation d'avoir rattrapĂ© le temps perdu. Et ça lui Ă©vitera Ă©galement de trop penser Ă  la jeune femme qui sera en trĂšs bonne compagnie avec Katalin. InvitĂ©InvitĂ©Lun 8 Juil - 1826C'est trĂšs plaisant de voir leur relation Ă©voluer de la sorte. Ils se taquinent et ne s'engueulent presque plus. Evidemment que ça arrive encore et que ça arrivera encore, peut-ĂȘtre mĂȘme dans les jours Ă  venir d'ailleurs mais le fait est qu'ils sont de plus en plus proches. Taquineries, moqueries, complicitĂ© Ă©galement. Ils savent trĂšs bien les limites Ă  ne pas dĂ©passer et comprennent Ă©galement lorsque l'autre plaisante. Ce qui, clairement, n'Ă©tait pas gagnĂ© au dĂ©part. Tout change. Et ce changement ne semble pas les perturber plus que ça. SĂ»rement parce qu'ils n'en prennent pas vraiment conscience. Ca se fait naturellement, ça coule de source. Par contre, il est Ă©vident que lorsqu'ils prendront conscience de tout cela, leur comportement changera. Elsa pourrait mĂȘme mettre sa main Ă  couper que l'un des deux si ce n'est les deux ! prendra la fuite. Fuir tout ça. Fuir ces sentiments qui naissent, fuir cette proximitĂ© presque trop intime. Ils n'en sont pas encore lĂ  certes. Alors, ils profitent en petit-dĂ©jeuner est une nouvelle fois incroyablement Ă©norme ! Il y a tant Ă  manger sur la table que Elsa ne sait que choisir. Elle prend alors ce qu'elle connait. Se risque Ă  quelques petites autres choses qui l'attirent mais c'est tout. C'est rare pour elle mais ce matin, elle a super faim. C'est pas comme si elle avait eu deux orgasmes coup sur coup non plus. Donc forcĂ©ment, ça creuse vachement !Elle voit bien que Katalin la regarde bizarrement mais elle essaie de ne pas y faire trop attention. Et mĂȘme si elle coule un regard rapide vers Vice qui dĂ©vore tout ce qui se trouve Ă  sa portĂ©e, elle prend sur elle pour ne plus le regarder. Le repas est vite ingurgitĂ© parce qu'il devient trop compliquĂ© de ne pas regarder Vice qui se trouve pourtant Ă  l'autre bout de la table. Elle sort un instant fumer une clope et surtout, prendre l'air. Se vider la tĂȘte, ne plus penser Ă  lui. Putain... Pourquoi il l'obsĂšde autant ? Parce qu'il est lĂ , tout prĂšs d'elle et qu'elle ne peut l'approcher comme elle en a envie. Oui, voilĂ , c'est aussi simple que ça. Tout ce qui est "interdit" est beaucoup plus attrayant. Et c'est forcĂ©ment pour ça qu'elle a tant besoin/envie de l'avoir constamment sous les minutes plus tard, elle rentre de nouveau dans la maison et se fait alpaguer par une Katalin survoltĂ©e qui ne lui laisse pas le temps de respirer. La soeur de Vice la conduit dans sa chambre oĂč elle exige qu'Elsa enfile son maillot de bain. Pas le temps de rĂ©pondre que la tornade est dĂ©jĂ  partie, laissant Elsa seule. Haussant les Ă©paules, elle se prĂ©pare et enfile son maillot de bain comme demandĂ©. Elle sait trĂšs bien oĂč Katalin va la conduire et elle en frissonne d'avance. Quelques minutes plus tard, la jeune femme revient chercher Elsa et elles partent toutes les deux pour le fameux bain suĂ©dois. Elsa se plie aux coutumes nordiques et suit Katalin, faisant exactement ce qu'elle lui dit. Et si la premiĂšre partie est fortement agrĂ©able, ce n'est pas tout Ă  fait le cas de la seconde oĂč Elsa met un temps fou Ă  plonger dans l'eau glacĂ©e. Elle en ressort quasiment aussitĂŽt d'ailleurs, grelotante. "J'vais mourir de froid." Et sans prendre la peine d'attendre Katalin, elle regagne la maison pour aller se rĂ©chauffer. Mettre des vĂȘtements chauds et se coller devant la cheminĂ©e. Quel merveilleux plan ! Katalin est toujours lĂ , Ă  ses cĂŽtĂ©s, apparemment dĂ©cidĂ©e Ă  ne plus la lĂącher tant qu'elle serait lĂ . Ce qui est trĂšs gentil, soit, mais qui n'arrange pas forcĂ©ment les plans de la blonde...Vice arrive alors, semblant revenir de son sport quotidien. Il ne fait que passer et semble se rendre dansla cuisine. Sans s'en rendre compte, Elsa ne le quitte pas des yeux. Ce qu'il est sex quand il est couvert de sueur comme ça ... Pour un peu, elle en baverait. Elle ne fait mĂȘme plus attention Ă  ce que Katalin lui dit. Et bien Ă©videmment, elle s'en rend compte la gredine qu'Elsa a son esprit occupĂ© ailleurs. GrillĂ©e... Putain... C'est clairement pas son jour Ă  la blonde...Katalin se marre, disant Ă  Elsa qu'elle le savait qu'il se passait quelque chose entre eux. Mais la musicienne n'en dĂ©mord pas et secoue la tĂȘte en disant que non, il ne se passe rien. Elle se rappelle alors la conversation qu'elle a eu avec Vice et la tente avec Katalin. "Ok. J'avoue tout." Katalin se redresse, soudainement trĂšs intĂ©ressĂ©e. "J'suis dĂ©solĂ©e de te dire ça mais j'trouve ton frĂšre super sexy. J'ai tentĂ©, il a refusĂ©. Soit disant que ce serait pas bien pour le groupe blablabla. Que ça pourrait crĂ©er des tensions ou je sais pas quelle connerie du genre." Elsa joue trĂšs bien la comĂ©die, elle y met le ton qu'il faut et les gestes qui vont avec. N'importe qui pourrait la croire, espĂ©rons que Katalin fasse partie de cette catĂ©gorie lĂ . InvitĂ©InvitĂ©Lun 8 Juil - 1827Only & ViceLe sport est une merveilleuse façon de se vider complĂštement la tĂȘte. Sur Vice, ça fonctionne plutĂŽt pas mal en tout cas. Il prend un plaisir certain Ă  repousser sans cesse ses limites. Quitte Ă  se foutre dans un sale Ă©tat physique. A moitiĂ© assommĂ© de fatigue et tout le corps endolori. Il ressent le besoin de tout ça alors il ne s'en prive vraiment pas. Au contraire. Il force mĂȘme un peu trop, comme ça peut lui arriver de temps Ă  autre. Surtout quand il a trop peu d'activitĂ© physique comme c'est le cas quand il est chez ses parents en SuĂšde. C'est donc bel et bien dans un sacrĂ© Ă©tat qu'il termine, aprĂšs plusieurs heures de sport intensif. En sueur, les cheveux ramenĂ©s en bun sur le sommet de son crĂąne et dans son bermuda/dĂ©bardeur, il quitte la salle de sport pour rejoindre la cuisine. OĂč il avale le contenu de deux verres d'eau pour compenser tout ce qu'il vient de perdre en sueur. Il prend quelques secondes, avant de quitter la piĂšce. Contrairement Ă  l'allĂ©, il ne peut rĂ©sister Ă  l'envie de lancer un coup d'oeil Ă  Elsa cette fois. C'est qu'il a parfaitement sentit son regard sur lui quand il est passĂ© mais a justement prit trĂšs fort sur lui pour ne pas zieuter dans sa direction. Il n'a toujours pas l'impression de laisser deviner quoi que ce soit Ă  sa soeur. Mais cette fois, il ne rĂ©siste pas de trop et lui accorde un bref regard. Sauf que c'est plutĂŽt celui de sa cadette qu'il croise. Il s'en dĂ©tourne donc tout de suite, sans afficher la moindre Ă©motion. Histoire de ne pas risquer de se griller auprĂšs d'elle. Il rejoint plutĂŽt l'extĂ©rieur, sans prendre la peine d'aller renfiler une veste ou quoi que ce soit du genre. AprĂšs sa sĂ©ance sportive, il a besoin de se rafraĂźchir en plein air et de fumer sa clope. Surtout, de fumer sa clope ! Ce qu'il s'attelle donc Ă  faire, en veillant toujours Ă  ne pas pivoter pour regarder vers l'intĂ©rieur de la maison, alors mĂȘme qu'il rĂŽde devant les baies vitrĂ©es qui donnent sur le qu'il commence quand mĂȘme Ă  avoir froid, il se hĂąte de terminer sa clope pour rentrer se mettre au chaud. Et cette fois ci, il se dit qu'il peut adresser la parole Ă  Elsa sans que ça ne semble trop suspect. AprĂšs tout, c'est tout Ă  fait normal qu'il lui parle un peu, non ? Ils sont tout de mĂȘme supposĂ©s ĂȘtre au moins des amis tous les deux ! Du coup il s'approche des deux jeunes femmes, s'arrĂȘtant Ă  une distance relativement acceptable. Et se penche au dessus du canapĂ© pour se placer en appuie sur ses coudes posĂ©s sur le dossier. Alors ce bain nordique ? T'as testĂ© ? Qu'il se renseigne, tout Ă  fait innocemment. Il ne doute pas que si elle a vĂ©ritablement testĂ© la chose, elle n'est pas prĂȘte Ă  recommencer. Peu de gens sont susceptibles de comprendre ce dĂ©lire typique des pays du nord. Vous ĂȘtes pas allĂ©es au jacuzzi aprĂšs ? Contenu sponsorisĂ©
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mĂȘme passion." Citation de l'Oncle Picsou, Ă  propos des footballeurs Merci Jerry oui capitaine Jerry Jerry FootBall HA pardon je sort et vous ĂȘtes aussi tous des beaufs L'auteur DĂ©-EncyclopĂ©die Skamop Voir le profil de Skamop PostĂ© le 17 juillet 2011 Ă  125136 Avertir un administrateur Il y a plus de beauf dans le monde du football que dans les autres sports tout simplement parce qu'il y a plus de monde dans le milieu du football que des autres sports hein. Si tu fait des statistiques, il y aura beaucoup plus de beaufs dans le foot que dans le tennis, mais alors beaucoup plus Victime de harcĂšlement en ligne comment rĂ©agir ?

AMLa Scampia ne veut pas dĂ©voiler son Ăąge, mais le fait qu'il parle de " libero " donne un sacrĂ© indice. À l'occasion de la sortie de son premier album, le

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Pasle mĂȘme maillot, tous la mĂȘme passion Forum des associations - Hier, des centaines de bĂ©nĂ©voles reprĂ©sentaient leur association au Parc des expositions Pas le mĂȘme maillot, tous la mĂȘme
2 participantsAuteurMessageNez de ferLangue pendueNombre de messages 482Age 37Localisation TravĂ©e 17Date d'inscription 14/09/2004Sujet On a pas le mĂȘme maillot mais on a la mĂȘme passion Dim 4 DĂ©c Ă  2237 Un petit message juste pour dire que ça ne coute pas plus cher de mettre 2 disqualifiantes un dimanche aprem... Yao jump fade awayLangue pendueNombre de messages 545Age 36Localisation Du cĂŽtĂ© de st denis... d'inscription 14/09/2004Sujet Re On a pas le mĂȘme maillot mais on a la mĂȘme passion Lun 5 DĂ©c Ă  115 Oui mais tu ne prĂ©cises pas Ă  qui s adressent ces belles rĂ©pliques dans les "phrases cultes"...C'est Ă  toi qu'ils ont dit ça ou ils se sont dit ça entre eux?Peut etre qu aprĂšs le val, le prix du fair play ira Ă  la st louis ou au capo...En tout cas je vais te rendre hommage car aujourd hui "1 homme qui pose deux disqualifiantes est plus fort que 10 hommes qui renversent une table de marque !" On a pas le mĂȘme maillot mais on a la mĂȘme passion Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
MĂȘmePas Capable De - CodyCross. La solution Ă  ce puzzle est constituéÚ de 7 lettres et commence par la lettre I. CodyCross Solution pour MÊME PAS CAPABLE DE de mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s. DĂ©couvrez les bonnes rĂ©ponses, synonymes et autres types d'aide pour Nous et notre leader, Marc, vainqueur l’étape reine, et Jean-Baptiste, 6Ăšme. Refaits !VoilĂ  maintenant trois mois que le Tour des Goodies est terminĂ©. Nous avons vĂ©cu pour la premiĂšre fois cette annĂ©e ce week-end de convivialitĂ© cycliste en tant que nous y avons participĂ©Sponsoriser une Ă©quipe rentrait pour nous dans une logique d’ouverture future de notre restaurant au cƓur de Paris dans le 2e arrondissement Liife. Notre concept proposer une nourriture saine pour les sportifs. Nous avions la possibilitĂ© de participer au Tour des Goodies en tant que sponsor Ă  deux niveaux cette annĂ©e en donnant un peu d’argent pour qu’une Ă©quipe porte les couleurs de son entrepriseen proposant nos produits / solutions sur le TourEt nous avons choisi les deux. Parce-que notre intĂ©rĂȘt Ă©tait double participer au Tour des Goodies Ă©tait une opportunitĂ© de gagner de la visibilitĂ© mais aussi de pouvoir faire tester nos produits et Ă©changer directement avec les sportifs/clients sponsorisant une Ă©quipe, on s’est ainsi offert la possibilitĂ© de communiquer trĂšs tĂŽt en amont de l’évĂšnement, de faire vivre notre marque avec nos 5 petits ambassadeurs. On leur a expliquĂ© notre projet autour d’un cafĂ©. Deux d’entre eux sont allĂ©s planter notre drapeau Liife en haut du Mont-Blanc un mois et demi avant l’évĂ©nement. On les a motivĂ© Ă  s’entraĂźner Ă  l’aide de punchlines de folies sur Whatsapp les semaines prĂ©cĂ©dents l’évĂšnement. Bien nous en a pris quelques semaines plus tard, Marc, un des deux grimpeurs du Mont-Blanc, est allĂ© chercher la victoire en haut du Tourmalet de l’étape la plus prestigieuse du Tour des Goodies. Arborant fiĂšrement notre belle tunique Liife, ce qui nous permet aujourd’hui de fanfaronner devant les copains autant que de crĂ©dibiliser le Ă©quipe avant le dĂ©part de la premiĂšre Ă©tape, un contre-la-montre par Ă©quipe de 40kmEn venant sur l’évĂ©nement, on s’est offert le luxe de distribuer nous mĂȘme les excellentes barres Ă©nergĂ©tiques que l’on avait concoctĂ©. Faites maison avec des objectifs diffĂ©rents pour les coureurs s’il vous barres une avant effort pour faire le plein de glycogĂšne, une pendant l’effort pour Ă©viter la fringale et une aprĂšs effort pour rĂ©cupĂ©rer aprĂšs une ascension de fou furieux !En plus d’ĂȘtre sponsor, nous avons donc Ă©tĂ© intĂ©grĂ© dans l’organisation ce qui nous a permis de vivre pleinement l’expĂ©rience du Tour de France Ă  petite Ă©chelle . Lors du contre-la-montre, nous suivions la tĂȘte de la course en voiture, ce qui nous a permis d’alimenter en live les rĂ©seaux sociaux avec des photos et des vidĂ©os. Nous avons aussi pu profiter du cadre exceptionnel des PyrĂ©nĂ©es, voir la souffrance et la joie sur les visages des coureurs, l’entraide, la dĂ©termination, le dĂ©passement de soi et profiter pleinement Ă  notre Ă©chelle de cette intense expĂ©rience de la 2Ăšme Ă©tape, plus longue et bien plus difficile, en tant que fournisseur officiel de barres Ă©nergĂ©tiques, l’organisation nous a confiĂ© la gestion des ravitaillement Ă  mi-course. Beaucoup on ressenti le besoin de s’arrĂȘter et de pouvoir poser un peu le pied pour se ravitailler, reprendre des forces au pied de ce monstre de Tourmalet. La fatigue a permis aux coureurs de se livrer et d’exprimer ce qu’ils ressentaient. Être sur place nous a permis d’entendre leurs commentaires sans langue de bois, de les encourager pour les rebooster et de tisser un lien forcĂ©ment spĂ©cial avec de notre propre intĂ©rĂȘt, le vrai plus du Tour des Goodies Ă©tait son ambiance, qu’on nous avait promis gĂ©niale. Et on n’a pas Ă©tĂ© déçu. On a passĂ© un moment unique. Avec les Ă©ditions prĂ©cĂ©demment organisĂ©es, tout le monde se retrouve pour en dĂ©coudre Ă  nouveau et remettre son titre en jeu mais surtout pour passer un moment trĂšs convivial et bon enfant. Chaque soir, aprĂšs les Ă©preuves, des confĂ©rences de presse » sont organisĂ©es afin de se tailler entre coureurs mais aussi permettre Ă  l’organisation de tacler les crocodiles », ceux qui ont des grandes gueules mais des petites pattes !Boris racontant avec humour l’expĂ©rience vĂ©cue par un des coureurs, a priori en difficultĂ© lors de l’étape reine -What’s nextAu final, pour nous sponsors, c’est une super expĂ©rience. Certes, en tant que restaurant pour sportifs nous Ă©tions directement concernĂ©s, mais toutes les entreprises ont une visibilitĂ© et une formidable opportunitĂ© de tisser des liens le peloton sur place autant qu’avec leur communautĂ© Ă  travers les rĂ©seaux sociaux. Flows Management est venu se faire connaĂźtre auprĂšs d’ingĂ©nieurs en herbe. Sixtine’s a fait dĂ©couvrir ces caleçons. Mr. Moustache ses chaussures. Cheerz son service d’impression photo en ligne. Et j’en passe. En tissant des liens avec notre Ă©quipe et en Ă©tant prĂ©sent sur l’évĂšnement, nous avons pleinement tirĂ© profit du page Instagram quelques semaine aprĂšs l’évĂšnementPour l’annĂ©e prochaine, nous souhaitons absolument remettre notre titre en jeu et participer personnellement. Cette ambiance, ce dĂ©passement de soi, cette visibilitĂ©, les rencontres, tout ça fait que le Tour des Goodies peut devenir incontournable et nous sommes vraiment contents d’avoir pu y participer. Longue vie au Tour des Goodies !PS nous sommes tout tout proche d’ouvrir notre restaurant et avons besoin d’un petit coup de pouce. Si vous le faĂźtes, promis, on vous laissera gagner Ă  la prochaine Ă©dition
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LACROIX VALLÉE D'EURE FOOTBALL MAIRIE - 27490 - LA CROIX ST LEUFROY. .91. lacroix@lfnfoot.fr

Accueil Sports Avant de se lancer pleinement dans la politique, le maire de La Croix-Saint-Ouen et conseiller dĂ©partemental de l’Oise chargĂ© du sport a Ă©tĂ© un arbitre de football reconnu, jusqu’au niveau international en tant qu’assistant. Article rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s 17aoĂ»t 2022 À 16H01. Richard Virenque est de retour sur le Tour de France, avec l'association MĂ©cĂ©nat Chirurgie Cardiaque et l'Ă©tape du coeur vendredi. Une icĂŽne du cyclisme national qu'on Ă©coute toujours avec passion, sur le passĂ© comme le prĂ©sent. En 1994, Richard Virenque domptait le Tourmalet par France tv sport. Samuel a rappelĂ© dans sa rĂ©cente note qu’il nous ouvrait les cuisines de l’AssemblĂ©e nationale depuis dĂ©jĂ  quinze mois. Ne travaillant au Palais Bourbon que depuis deux ans, je me suis interrogĂ© sur ma lĂ©gitimitĂ© Ă  l’accompagner dans son travail de dĂ©corticage. Deux raisons m’ont poussĂ© Ă  franchir le pas. D’abord la diffĂ©rence induite par l’appartenance Ă  la majoritĂ© ou Ă  l’opposition, dĂ©jĂ  Ă©voquĂ©e par le premier marmiton. Mais aussi ma relative inexpĂ©rience qui me fait porter un regard diffĂ©rent de celui de Samuel sur la vie de notre assemblĂ©e. Samuel vibre-t-il toujours pendant les questions au gouvernement ? Concours d’invectives, questions sans rĂ©ponses, rĂ©ponses dont on fait peu de cas, l’exercice peut fatiguer jusqu’aux dĂ©putĂ©s. La retransmission tĂ©lĂ©visĂ©e implique un timing serrĂ©, encore raccourci depuis la derniĂšre rĂ©forme du rĂšglement, qui rend toute argumentation difficile. Pourtant, ces sĂ©ances rĂ©servent encore quelques surprises. J’en retiendrai deux illustrations dans les semaines qui viennent de s’écouler. Le 1er juin dernier, les quatre premiĂšres questions, tous groupes confondus, ont Ă©tĂ© consacrĂ©es au mĂȘme thĂšme, Ă  savoir l’assaut israĂ©lien au large de Gaza. Un quart d’heure durant, l’hĂ©micycle a paru apaisĂ© et un semblant de consensus s’est mĂȘme dĂ©gagĂ©, comme en tĂ©moignent les Vifs applaudissements sur tous les bancs » relevĂ©s par le compte-rendu Ă©crit. Le PrĂ©sident Accoyer semblait moins satisfait du comportement de certains dĂ©putĂ©s lors de la sĂ©ance de questions du mardi 15 juin. Le compte-rendu Ă©crit indique que les dĂ©putĂ©s socialistes ont Ă©mis des bruits de bourdons. Ils imitaient en rĂ©alitĂ© le bruit du vuvuzela, pour signifier leur mĂ©contentement face Ă  Eric Woerth, qui rĂ©pondait Ă  une quatriĂšme question de l’opposition sur le sujet des retraites. Artifice puĂ©ril de communication ? Peut-ĂȘtre mais le rĂ©sultat est lĂ  l’AFP a repris l’essentiel du contenu des interrogations socialistes dans une dĂ©pĂȘche en l’introduisant par une rĂ©fĂ©rence au gadget sonore. Cette mini-bataille parlementaire aurait-elle Ă©tĂ© relayĂ©e sans chahut de la sĂ©ance ? ww4he.
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  • on a la meme passion mais pas le meme maillot